Le vacarme pesait sur l’abbaye comme un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait revêtir des murmures indistincts, à savoir si la pierre elle-même conservait la mémoire des âmes disparues. Le moine restait prostré devant le manuscrit, sa souffle saccadée, les mains crispées sur le rebord https://brooksmjgdy.p2blogs.com/32756362/les-noms-tracés-dans-le-sang