Le château de Camelot s’étendait marqué par un ciel de plomb, où les nuages lourds semblaient noyer sur les remparts comme un présage silencieux. L’aube peinait à proférer la chape grise qui recouvrait le destin, et l’atmosphère elle-même semblait imprégnée d’une tension artérielle apathique. Dans les entrailles du château, Morgane https://bertranduajpw.theisblog.com/33755782/les-comètes-du-passé